





C'est en Afrique subsaharienne, au Cameroun, que l'aventure internationale de RAZEL-BEC commence en 1948. A partir de cette date, elle ne cessera de se développer en Afrique de l'ouest et en Afrique centrale dans un premier temps, et plus récemment dans l'est africain.
L'aventure africaine
Après avoir démontré toute son expertise technique et sa capacité à gérer de grands projets à l'international en construisant la 1ère route bituminée du Cameroun, la route Douala-Edea, Razel-Bec exportera ensuite ses compétences en Algérie dès 1954 puis en Guinée en 1957, sur des chantiers d'infrastructures de routes principalement.
Fin des années 80, Razel-Bec a mené des chantiers dans pratiquement tous les pays d'Afrique de l'ouest et d'Afrique centrale (Gabon, Sénégal, Mali, Côte d'Ivoire, Niger, Ghana, etc.) et a développé son champ d'intervention : aéroport, chemin de fer, barrages, VRD...
Plus récemment, Razel-Bec a développé une activité en Afrique australe et Afrique de l'est, avec l'ouverture d'une filiale en Angola, d'une succursale au Mozambique et le pilotage de grands projets en Zambie ou au Kenya par exemple.
En 2018, Razel-Bec a fêté ses 70 ans de présence continue au Cameroun. Elle a mis à l'honneur les nombreux projets menés dans ce pays : route Douala-Edea, Barrage de Song-Loulou, aéroport de Douala, Canal du Mfoundi, etc ; et ses 2 200 collaborateurs qui en font aujourd'hui l'une des principales entreprises de travaux publics du Cameroun.
Grâce à ses multiples compétences, l'entreprise propose à ses clients une offre globale multimétiers, notamment en génie civil industriel et sur les problématiques de traitement de l'eau, métiers porteurs pour les décennies à venir et sur l'ensemble du continent africain.
Au-delà des frontières africaines, Razel-Bec met à profit son expertise de gestion de grands projets à l'export et intervient dans les Caraïbes sur des projets de routes ou d'aéroports, mais aussi au Moyen-Orient ou en Asie du sud-est.